Mémorial des Policiers français Victimes du Devoir

« Il y a quelque chose de plus fort que la mort,
c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants. »

Jean d’ORMESSON

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Gardienne de la paix

Sandrine MAUCLERT-BERGER

Victime du Devoir le 02 mai 2004

Département

Bas-Rhin (67)

Affectation

Sécurité Publique — Strasbourg

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Circonstances

Cause du décès

Maladie ou blessure contractées à l'occasion du service

Dans la journée du dimanche 29 Février 2004, deux automobilistes à l’origine d’un accident matériel se rendaient à l’accueil du commissariat central de police de Strasbourg (Bas-Rhin) pour se disputer les torts. La banale altercation se transformait en pugilat et les policiers de l’unité de nuit présents intervinrent aussitôt pour les séparer.

Au cours de cette intervention, la gardienne de la paix Sandrine Mauclert-Berger, vingt-six ans, fut victime d’un malaise cardiaque. Transportée aux urgences du CHU de Hautepierre, elle tombait dans un coma irréversible.

Le 2 mai suivant, la jeune policière succombait. Ses obsèques officielles eurent lieu à Sélestat en présence de nombreux officiels et de proches émus.

Biographie

Direction d'emploi

Sécurité Publique

Corps

Encadrement — Application

Type d'unité

Unité de Voie Publique — Service Général

Titres et homologations

Citation à l'Ordre de la Nation

Née le 16 juin 1978 à Melun (Seine-et-Marne) ; mariée, mère de deux enfants.

Citée à l’ordre de la nation [1] ; nommée Lieutenant de police à titre posthume ; médaille d’Honneur de la Police Nationale ; médaille échelon or des actes de courage et de dévouement.

Sources et références

BODMR n° 05 du 02/10/2004 ; [1] JORF 13/05/2004, page 8520

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  1. Reposez en paix Sandrine..

  2. J’étais là ce soir de février impuissant face au drame qui se déroulait à l’accueil. Nous ne t’oublierons jamais Sandrine

  3. Dommage c’est triste qu’on ne l’a jamais vu ni connu
    C’est désolant, mais c’est la vie
    Encore avec beaucoup de retard
    Sincères condoléances
    ´

  4. Profonde tristesse ! Partir ainsi aussi jeune !
    Qu’elle repose en paix. Condoléances attristées à ses proches.

  5. Je t’appelais toujours “mon petit oiseau des îles” lorsque tu venais dire au revoir en chantonnant le matin à la fin de ton service. Je ne t’oublierai jamais. Tu Restes gravée dans mon coeur, Sandrine.

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